Mon premier amour
rasee govindani
Il est arrivé quand j'étais dans le septième degré.
Il était ce garçon, deux années plus vieilles, un pied plus grand, et totalment odieux. Il me fait rougir. Il me fait rire. Il était le premier garçon qui jamais m'a appelé à, faisant à la maison mon sourire de mère ce sourire secret du sien.
Et j'ai rougi.
Il m'a donné une rose artificielle pour Valentin, vaporisé avec la plus petite touche de quelque parfum capiteux. J'ai acheté le confit chaque matin avant la classe. Il m'a donné une sérénade avec nos hymnes d'évangile et je lis à haute voix à lui des livres du Wilder de Ingalls de Laura.
Une fois il m'a frappé sur la tête avec un ballon de volley et obtenu en bas sur ses genoux devant un cafétéria plein, demandant pardon.
Je l'ai aimé si beaucoup.
Je me suis assis dans le soleil chaud, sur l'herbe sèche, regardant le joue le volley, encourageant jusqu'à ce que ma gorge était rouge et sèche et mes yeux brûlés. Chaque temps il m'a regardé, avec un sourire reconnaissant sur sa face, j'ai senti que les déchirures piquent mes yeux, et je l'ai aimé même plus.
Amour. Je ne l'ai jamais su jusqu'à ce que je l'ai rencontré.
J'ai voulu être son monde, le protéger et le tient, l'embrasser et les poèmes de chuchotement doux et doux. J'ai voulu écouter sa voix me chantant pour dormir et sentir que sa grande main tenant le mien, avec ce sourire sur sa face.
« Je vous aime, » il chuchoterait, deux années plus tard.
C'était trop tard. Beaucoup trop tard. Mon amour était maintenant une couverture chaude qui lui a enveloppé, soignant et priant il serait bien, mais vouloir non plus long lui la façon j'ai fait.
Peut-être s'il avait dit les mots plus tôt.
C'est été sept années puisque je premier l'a rencontré. Il était mon premier amour et toujours restera cela. Il est aussi le premier garçon qui m'a demandé l'épouser et m'a introduit à sa mère comme sa fiancée.
Il était le premier garçon qui a marché en bas au fleuriste avec moi tous les jours, les peu de semaines avant Valentin, dévisager aux roses de long-stemmed. Il m'a donné des boucles d'oreille en forme de coeur qui ont étincelé dans la lumière la dernière fois nous avons dépensé Valentin ensemble.
Il était le seul garçon qui a cru en la bonté de mon coeur et jamais, ne l'a jamais douté. Pas pour une seconde.
Je crois qu'il y a bon dans lui, bien que je non plus long lui parle. Les années ont volé par si rapidement, et il toujours a su quel était bon pour moi. Toujours.
Et je toujours suis allé contre lui. Toujours.
Amour. Mon premier amour.